Soins de santé

La garde en établissement

Éditeur : Centre communautaire juridique du Saguenay-Lac-Saint-Jean
452 84
Maître Roseline Bouchard-Zee

Bien que la liberté de la personne soit depuis longtemps consacrée comme l’une des valeurs fondamentales de notre société et qu’elle soit même codifiée par la Charte des droits et libertés de la personne et le Code civil du Québec, il n’en demeure pas moins que la loi permet des exceptions à ce principe pour des raisons sérieuses et graves et selon une procédure bien précise.

Criminel

La violence conjugale, les partenaires intimes et la détermination de la peine

Éditeur : Centre communautaire juridique du Saguenay-Lac-Saint-Jean
452 84
Me Jean-Pierre Fundaro

Si, pendant longtemps, la justice criminelle considérait que la violence conjugale était uniquement un problème d’ordre privé, désormais, le législateur a codifié la violence ou l’abus subis par un partenaire intime comme étant un facteur aggravant à considérer lors de la détermination de la peine, en droit criminel. On reconnaît désormais les conséquences d’une telle violence sur les victimes, les enfants et notre société[1].

[1] 2020 CanLII 33884, para 40.

Criminel

La détermination de la peine, les délinquants autochtones et les rapports Gladue

Éditeur : Centre communautaire juridique du Saguenay-Lac-Saint-Jean
452 84
Me Jean-Pierre Fundaro

Le droit criminel s’appuie sur la prémisse selon laquelle seule une conduite volontaire entraîne la responsabilité criminelle. En ce sens, la peine, conséquence judiciaire du crime dont une personne est responsable, doit être proportionnelle par rapport à la gravité de l’infraction et au degré de responsabilité du délinquant.