L’adolescence coïncide avec plusieurs nouvelles expériences, lesquelles incluent notamment celles qui ont trait à l’intimité. Aujourd’hui, presque tout le monde possède un téléphone intelligent dans ses poches.

Je ne vous apprends rien en vous disant que ces appareils permettent de prendre des photos, de filmer et de distribuer des documents extrêmement rapidement.

L’adolescent qui prend des photos, filme ou diffuse des images intimes peut se rendre coupable de plusieurs infractions criminelles qui ont, notamment, trait à la pornographie juvénile. Ces jeunes devront faire face à la justice criminelle et, à ces lourdes conséquences, peuvent s’ajouter des poursuites civiles.

Si vous croyez que ces situations n’existent pas, retenez de cette chronique qu’il s’agit d’un véritable fléau qui occupe les Tribunaux de notre région et du Québec, à chaque semaine.

En terminant, nous conseillons de pas mélanger « électronique » et « intimité ». De plus, les moments intimes doivent être guidés par le respect du partenaire et de son consentement.

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1 téléphone, tablette, ordinateur, réseaux sociaux ou applications